Un parfum de néant sur ma lèvre de plomb, Je bave les sanglots des amours éteintes, Infâme et détourné ; les Femmes à l’aplomb De la Passion, pourrie au milieu des absinthes.
Le cœur tout plein de gerbe ainsi que de vins froids, Je me saoule d’azurs où les nuages suent Un néant plein de nacre – Au loin, mille beffrois Martèlent ma douleur, même les roses puent !
Et les miroirs ne sont que des matins chargés D’orages éternels, insonores et vierges De tout éclat de ciel , de tout pourpres dangers ; Les dangers sont la flamme à mes rêves en cierges.