Je pense à tous les poèmes que j’ai écrits Qui s’en vont dormir dans un tiroir D’un sommeil agité sans jamais avoir Vu le beau soleil et qui reprendront vie
S’ils sont relus par un curieux lecteur Parti à la découverte de cet inconnu Qui s’est mis à écrire son point de vue Sur le monde sans la moindre peur
Du ridicule, tout en rêvant que les mots Écrits pourraient donner à réfléchir Les hommes qui élimineront les maux
Un jour de notre chère mère nourricière Qui a besoin d’amour et de musicalité, Face à la haine et les guerres meurtrières.
Mes poèmes aussi médiocres qu’ils soient, Sont une ode pour la paix et gardent l’espoir Que l’humanité finira par trouver la vraie foi.