Ô toi l’astre lunaire qui nous fait rêver Ton mystère est finalement dévoilé, Mais pour les habitants de la terre Qui te regardent depuis des millénaires Tu demeures l’amante bien aimée, Qui s’est, hélas, séparée de la terre après Une collision frontale avec un embryon Planétaire nommé Theia… te voilà, sans Eau, nostalgique, traumatisée, éloignée De tes racines te souvenant du passé, De l’instant malheureux où l’accident Est arrivé, de la douleur de l’éloignement Et des millions d’années de relations Soutenues par de fortes émotions Ressenties par tous les êtres déplacés.
Peut-on oublier ce temps révolu, L’amour né dans ce paradis perdu? Bien sûr que non et grande… Fut ton bonheur quand tu as été foulée Par Neil Armstrong et vite de réaliser Que tu es restée très chère dans le coeur De ta mère et que tu lui fais honneur. L’amour et les contacts directs renoués La relation continuera sans aucun secret Et surtout ne cesse pas de nous faire rêver.