Ma ville, une matrice Chaleureuse et protectrice Avec des bruits continus Des espaces ouverts, nus Qui me donnent la vitalité Et un sentiment de liberté. C’est ma marche au hasard Dans les rues sous le regard Attendris des gratte-ciels À l’ombre ou sous le soleil.
C’est le lac immense et beau Où mes rêves naviguent tôt En compagnie de la sérénité Pendant que je bois mon café.
Je ne peux me passer d’elle Et à mes yeux elle est belle Ce poème, je te le dédie Toi qui favorise ma vie.