Assis tout seul devant l’ordinateur Je vois un ciel couvert gris et j’écris Dans le calme de dimanche où la vie Se prélasse dans un sommeil réparateur.
C’est le calme absolu qui réconforte Mon cœur à la recherche du bonheur Dans un monde meurtri par le malheur Et la violence qui guettent à la porte.
C’est le calme absolu qui éclaire Mon esprit, me permettant de créer Et de respirer la sérénité dans l’air.
C’est le calme absolu qui sera rompu Par le brouhaha de la ville qui s’éveille Pour m’inviter à explorer sa beauté nue.