Tout semble empreint de paix, calme et félicité ! Pourtant règne toujours une guerre civile : Cingalais ou Tamouls, nul ne se veut servile Et s'asseoir contre l'autre au banc d'unicité.
Le tigre se veut roi de la férocité, Pose sa griffe au coeur de l'écrasante ville, S'abreuve au sang du flot de terreur rouge et vile, Pour périr à son tour dans une atrocité.
Entendez-vous au loin cette douce musique ? Le temps parfois se montre oublieux, amnésique, A Kandy, près du lac, vient barrir l'éléphant.
Après un tsunami, la mer, la tolérance Font renaître l'espoir dans l'âme d'un enfant... Tout peuple se construit d'amour et de souffrance !
