Ô toi, le fils d'angkor, enfant de source Khmère, Où le Dieu créateur mit le pont d'Arc-en-Ciel, Tu reçus en cadeau, don providentiel, Tous les arbres géants et la forêt de pierre.
Les temps ont défilé sur une route amère, Oubliant les trésors et la douceur de miel. Au royaume écroulé des sombres jours de fiel, La mort seule régnait, souveraine de guerre.
L'atrocité sans nom, la chute de l'honneur, Ont fait place à la vie, au retour du bonheur, Parmi les Apsaras et les robes de soie.
Tu parles de Vishnou, de Krishna, de Shiva, Des rêves de jadis qui te montrent la voie... Que Bouddha te conduise au seuil du Nirvana !
