Je saisis d'abord tes mains, aux traits doux et apaisants Appelant les miennes, comme un regard incessant. Le parfum de ta chevelure est caractéristique Mais je l'aime sans arrêt comme notre romance : anecdotique
Tes yeux flottants et légers me contraignent à m'oublier A la manière du ruisseau face à l'océan j'implore ta pitié Ton regard suprême et divin m'ensorcelle Tes lèvres ont, sur moi une odeur spirituelle !
J’observe doucement tes épaules blanches et parfaites Qui se balancent, et se meuvent, si bien faites. Je pose comme un réflexe ma bouche sur la tienne Et la tienne réagit, fugace et intime !
Tu m'ouvres la porte de mes désirs Par tes rires et ton noble sourire Corps éternel que j'adore, tu t'en vas au dehors Et je me glisse profondément vers ton plaisir,
Vers tes formes qui me forment et me déforment ! De notre histoire tu t'en sort et reviens si vite Que jamais je ne me délecte assez de ta beauté Corps éternel que j'adore, tu m'abandonnes...
Tu dérobes tant de mon plaisir Tu erres près de moi et me laisse espérer Tu t'en vas et puis reviens, si belle
Toi, femme au corps éternel Moi, homme au corps et au cœur meurtrie ! Tu me roues de coups à chaque séparation Mais l'intensité de nos instants concis et délicieux les ci