On se marie car il faut bien se marier… Quelque peu quelque part dans un pile ou face…. Dans mille sourires et l’embarra du choix… Mais quand-même en entendre qu’un seul chanter ! Si cristallin que tous les autres s’effacent ! Vibration recueillement à cette voix…
On enfante car il faut bien enfanter… Dans un abandon ou dans un sacrifice… Dans un coït qui est d’Amour ou d’hygiène… Mais quand-même c’est émouvant son bébé ! Arrêt sur image dans sa vie, un fils ! Gloria de l’existence musicienne…
On vieillit car finalement il faut vivre… Et mourir s’avère être très dangereux… Se noyer ? Mais dans l’eau chaude des tropiques… Mais quand m’aime le bonheur, que je m’y livre ! Et si c’est en pointillé j’y plonge j’étreins ce [bien précieux ! Pub ivresse d’un monde bleu féerique…
La photo au mur n’est qu’un mirage en blanc Jaunie comme l’est le papier tout autour… Ne plus avoir le choix mais que l’embarras… Mais pourtant la couleur d’un cœur éclatant Est là, derrière… Meurtri mais plein d’amour, Il ne demande qu’à rouvrir grand les bras…
