L’orgasme est un moteur à qui nous devons tout Le pire et le chagrin -rarement l’excellence- Il est cause de vie et du grand chapelet De ‘succès’ et d’échecs qui viennent puis qui passent Qui s’amusent avec notre naïveté -Elle est là de toujours faisant l’humanité- Quant à ce bel égo qui constamment rêvasse Il devra s’effacer sans l’ombre d’un délai… Aussi ce cher plaisir moteur de l’existence Qui nous fait avancer nous entraîne vers où ?