Le rêve est éconduit D’un présent qui défaille D’un présent de grisaille D’un bien sombre aujourd’hui…
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Dans un ‘Adieu veau vache’ Qui manque de panache Le ciel devient obscur S’en va le bel azur Le soleil est un leurre Vite ses rayons meurent Éclipsés d’un ‘toujours’ Qui rit de nos amours…
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Qu’est donc notre existence Qu’un futile clin d’œil Qu’un mystérieux seuil Qu’une vaine appétence ?