Par le regard tronqué d’un manque de recul L’intellect escroqué fait un mauvais calcul Quand tout son horizon respire le problème Il en perd la raison dans un leurre suprême…
L’utopie au pouvoir surgit pour l’éblouir L’ombre de son espoir saura s’évanouir Dans un terne réel qui n’est que pragmatique Dans un sombre tunnel trop machiavélique…
Pauvres baby-boomers le rêve était joli Pauvres papys loosers le temps l’a démoli L’onde des babas-cools vibre loin du bien-être Lorsque le bateau coule il faut le reconnaître…
Quand meurt le collectif reste le moi d’abord Hier est inactif à tout jamais il dort La paix laisse la place à l’éternelle guerre L’amour aussi s’efface emportant son mystère…
Reste les questions dans le froid de la nuit Reste l’émotion dans le show de l’ennui Bien trop souvent l’humain cherche une vaine ivresse Qui dans un tour de main fait naître la détresse…