Tous un jour percutés terrassés par le temps Quand vient l’ultime année en faisant du surnombre Que voyons-nous semé là parsemant nos champs Terre à futilités pour des fleurs de pénombre ?
Quand meurt le crépuscule étouffant l’horizon Vole au vent de l’oubli la beauté de l’aurore L’impossible recul fait frémir la raison Qui tremblante supplie et en larmes implore…
A l’heure du regret Est vu tout le factice Qui perdant son attrait N’est que piège à malice…
Tous un jour percutés terrassés par le temps Quand vient l’ultime année en faisant du surnombre Que voyons-nous semé là parsemant nos champs Terre de qualité pour récolte en grand nombre ?
Quand meurt le crépuscule étouffant l’horizon Vole au vent de l’oubli la beauté de l’aurore Ces instants vestibule au goût d’entre-saison Pleurent l’âme qui fuit le beau que l’on honore…
A l’heure du regret Est vu tout le factice Le bien n’est pas abstrait Il surpasse le vice…
Quand meurt le crépuscule étouffant l’horizon Quand vient l’ultime année en faisant du surnombre Si nous avons aimé plus fort que de raison Nos instants vestibule ignorent ce qu’est l’ombre…
Nota : ce poème, le 30/ 08/ 2022, a été publié sur le site "loisobleu" de Niala-Loisobleu (https://alaindenefleditniala.com/category/didier-colpin/)