Désirer se confondre Dans le souffle du vent Qui lui seul sait répondre Au miroir mort-vivant…
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Un reflet anonyme Que tout un trouble anime Que chante un blues sublime En contemplant l’abîme Une étrange pâleur Au regard de dealer Au regard enjôleur Quelque peu racoleur…
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L’auréole est bien sombre L’horizon qui lui ment Non jamais ne s’encombre Du moindre sentiment…
