Posé sur un piano qui dort désaccordé Du papier à musique attend l’inspiration Perdu il se morfond nu seul et désolé Sera-t-il transformé en belle partition…
Soudain l’amour survient et comme par magie Accueillant quatre mains le piano chante juste Dans un bouillonnement les notes prennent vie Surgit et s’impose quelque-chose d’auguste…
Écrit en clé de ciel comme en apesanteur… Ton regard sous les doigts et le clavier s’enflamme… Vives et colorées sont les œuvres en ton honneur… Oh muse de toujours… Enchanteresse Femme…