Un intérieur vaste et sombre Lugubres pas lourds comme usés En bas vers le sol brille l’ombre Tous les tentateurs sont rusés Leurs noirs boniments vont en nombre…
Et soudainement dans ce vain Eclos un appel salutaire De la lueur vient une main Merveilleusement tout s’éclaire Le cœur s’enrichit d’un saint gain…
Cet intérieur est la vie Tous nous y marchons doucement Elle rime avec utopie A-telle un vitrail transcendant Sa fadeur et sa litanie…