Marcher dans la lumière et danser bercé d’ombre Dans un langoureux slow câlinant les cirrus Flottant déconnecté sous l’œil perçant d’Horus Qui du haut de son vol organise le sombre…
Marcher dans la pénombre et chercher le soleil Comme fin de l’obscur comme repos ultime Indicible bien-être annihilant l’abîme Sédatif illusoire hypnotique sommeil…
Surnage la bouteille au loin de son rivage Courants et tourbillons vents et lames de fond Seul le gardien du port tout là-bas se morfond Car craque le bateau sur la mer du clivage…
Dans l’espace sauvage ouvrant sur le désert La danse du contraste avec la nuit glacée Avec le jour brûlant toute violacée Nous offre le baiser de son spleen bulldozer…