Si l’amour n’est qu’un pauvre cataplasme Posé sur la vie au creux de l’oubli Avant le néant un simple fantasme Où chante la Femme au corps anobli Alors l’absolu n’est rien qu’un sarcasme…
Mais s’il est déclic avant le déclin Révélé fleuron de notre boutique Alors déclamons qu’il faut être enclin A le proclamer bien plus que physique Magique serment pour papier vélin…
Au pleur continu du rire volage La Femme la muse dans le flux du flou Témoigne devant un aréopage Que sa flamme n’est pas à mettre au clou Et qu’elle vaut plus qu’un simple effeuillage…
Habillant le jour l’ombre de la nuit Berce le regard d’une nostalgie Par un seul espoir le malheur s’enfuit Celui de revoir l’étrange harmonie D’êtres réunis sous l’amour qui luit…
Le mot attendu dans une requête Est effet miroir offert en idem La vie aime aussi faire la coquette En tournant autour de ce mot totem Traversant le temps éternelle quête…