Dans cette nostalgie appelée avenir Bien souvent je me perds bien souvent je m’égare Le désir du futur est un peu comme un phare Un peu comme une thèse à toujours soutenir…
Dans un demain jardin les fleurs de la justice Etoufferont la graine au germe de douleur Les présents faits de pleurs agressifs harceleurs Auront tous disparu… Désirable armistice…
« L’internationale » ou le « Pater Noster » Malgré le différent tous les deux font la paire Dans le même soleil l’Humain mortel espère Pourtant la terre est rouge épouvantable enfer…
Dans le flouté du sens le doute se délie Dans un brouillard épais se dirige demain Sur un rêve de Paix -grandeur de l’être humain- Sur un rêve avorté s’épanouit la folie…
C’est l’avenir sans guerre avec la S.D.N. Qui meurt vingt ans plus tard dans un trop plein de haine Elle est encore là terrible suzeraine Se trouve-t-elle écrite au cœur de l’A.D.N ?
Pauvres baby-boomers que vaut donc votre rêve Pauvres papy-boomers que devient donc Woodstock Le Peace and love est mort victime du hard-rock Il s’est montré chétif il n’était qu’une trêve…
Vouloir s’émerveiller du soleil le matin Et dans ce pointillé vouloir juste un peu vivre Respirer cet instant qui sobrement enivre Qui sait nous révéler sa douceur de satin…
Les espaces de Paix ne sont que des batailles Où la guerre est défaite -elle n’abdique pas- Et le prochain conflit rapplique pas à pas… Sombres sont les revers de toutes les médailles…