C’est hier qui s’éloigne Comme un soleil d’été Le silence en témoigne Comme un cri répété…
Comme un cri qui s’égare Cela sans un écho Sur une plage nue Où s’effacent nos pas Balayés par septembre Qui n’est que l’antichambre D’un évident trépas D’une déconvenue D’un morne fiasco Qui déjà se prépare…
Mais tes gentils baisers La fougue de leur flamme Sous des cieux malaisés Resteront un sésame..