La concurrence des prismes Pour comprendre le vivant Engendre des sectarismes Et des totalitarismes Zèle diablement clivant Tu n’es qu’un monstrueux vent…
Tous les siècles en témoignent On se tue allègrement Voire héréditairement Dans cette foire d’empoigne Où toute entente s’éloigne Foisonne l’égarement…
C’est la même barbarie Qui persiste dans le temps Les vivants vont tremblotants Sous le joug de la tuerie Tout n’est-il que tromperie Sous nos cieux inquiétants…
…
Le dieu le pays la race Tout est "bon" tout n’est que sang Ce vacarme assourdissant Fabuleusement vivace Ne manque jamais d’audace… Adieu calme caressant