L’affliction du temps qui passe Sait doucement nous déglinguer Le camouflage inefficace -Aucun besoin d’épiloguer- Rit de notre œil bien peu loquace…
Car au final -simple constat- Adieu fraîcheur adieu finesse Demain n’est qu’un sombre attentat Bonjour lourdeur bonjour vieillesse…
Riant de nous dans le miroir L’éternité de la plastique Évidemment fait peine à voir Son rire n’est que sarcastique Nous laissant que bien peu d’espoir…