Quand je mourirai D’un trop plein d’enfance Comme sans défense Quand je m’en irai En fils du silence Loin de l’excellence Nu dans l’infini Vers l’inconsistance De l’inexistence En catimini Dans mon cœur immense Avec véhémence L’amour vibrera -Onde en résonance Dans la rémanence-… Qui le percevra ?