Pour un amour singulier -Terrassé par le pluriel- Le quai aigre du départ A un goût de Trafalgar. Le deuil habille le ciel… Demain est rêve oublié…
Prisonnier d’un film sans fin -Folle ivresse du hors pistes- Le passé devient icône Et aujourd’hui une zone De morts paysages tristes Sans avenir ni destin…
Le regard est fixe et vide -Écho d’un esprit absent- Car lorsque ment le présent L’espérance aussi se ride…
Cachée sous du maquillage L’âme tait son lourd message…