La Mort sait à l’évidence Nous imposer sa cadence L’homme se sent enchaîné L’homme voudrait la freiner…
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Bien sûr il pressent le pire Mais il se ferme les yeux Bien souvent il fanfaronne Et se comporte en vieux beau Dans le déni du tombeau Mais l’horloge qui ronronne D’un regard non oublieux Sans trop l’afficher conspire…
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Tout n’est que momentané L’avenir vite fané Sans aucune repentance Rime avec inexistence...
