Dans l’absence de mots qui n’est pas qu’un silence Pleurent de nombreux maux ne pouvant s’exprimer Ils serpentent tapis sachant nous opprimer Leur sombre thérapie est une ambivalence…
Le cœur est une cible ils sont comme une lance La souffrance est audible elle sait s’animer Le chagrin n’est pas mort il n’est pas périmé Il n’a pas de remords grande est son insolence…
La peine s’approprie alors les dons d’autrui Apaisé notre esprit morne se reconstruit Là par une lecture ou par une musique…
Ici c’est la Nature aux bienfaisants effets -Comme un tangible écho de la métaphysique- Qui nous offre en cadeau ses très nombreux bienfaits…