Je t’aime comme on aime le temps tant que ta bouche sourdre de doux remous flous. Je t’aime comme on aime un temps qu’en nous évoque vacances d’âme. Je t’aime comme on aime l’étang qui embarque noyant nos soucis. Je t’aime comme on aime vingt ans quand nos récifs sont trop court. Je t’aime comme on aime sentant qu’on ne rentrera plus. Je t’aime comme on aime sans s’encombrer de bagage. Je t’aime comme on aime pensant combler une vie. Je t’aime comme on aime en poussant les nuages. Je t’aime comme on aime un poussin blond.