Tu voyages, chaque matin Tu avances d'un regard de désir Je reconnais ton sourire de passion Oh ! sentiment que veux-tu ? Mais orgueil que veux-tu ? N'entraîne pas ton monde à l'envie Il est si beau d'aimer, si pur de donner Recevoir : c'est le bonheur parfait. Mais qu'en est-il de l'amour ? Oublies-tu ton alliance ! Misère d'esprit, douleur charnelle De céder j'en ai la haine Et d'un coeur qui s'anime Nul ne peut remédier, que faire ! Mais après tentation, tout va à s'évanouir, On ne cherche plus à s'aimer, mais à se haïr Et tout s'oublie charnellement.
Au fond, personne ne veut oublier un désir consommé On a gâché l'amitié offerte par la terre.