Au réveil, ce matin c’est une nouvelle aurore Qui pointe à l’horizon avec ses talismans, Pour te faire fêter soixante dix huit ans, Et te faire surgir comme un grand météore.
Tu n’as plus le besoin de calculer ton score, Car tu t’es enrôlé parmi les vétérans, Après un beau parcours, avec quelques ahans, Tu hisses ton pavois avec vigueur, encore.
Toute ta descendance honore ton esprit, Comme le géniteur d’une belle lignée Qui t’offre son respect et qui t’enorgueillit.
Tu restes pour toujours ce jeune mousquetaire ; Malgré tes cheveux blancs et ta mine ridée, Nous allons tous fêter ton neuf anniversaire.