C’était un soir d’hiver sous le ciel étoilé, Une terre animée engendre dans mon cœur Un océan d’amour. Alors, ses yeux fixés Sur moi m’obnubilent. Une nouvelle sœur.
Mon âme est impressionnée d’un doute inouï Quand elle me donnait le crayon et me dit D’inscrire mon nom sur son parchemin doré Qui m’appartenait déjà. Oh Dieu quelle fée !
Oh Dieu quelle fée qu’instaure en ce Saint homme Un appétit d’aller à l’état adamique Par ses doux appas. Et je vois d’autres symptômes
Qui mettent en jeu l’amour terrestre, céleste. Mon cœur va décider, il a son choix unique. L’amour terrestre, céleste. Quel choix funeste !