Ô mon joli poison, Toi qui, de ta toison, Me frôle, et te transmet dans ma poitrine, Tu creuses, tu veux t’enfoncer jusque dans l’hémoglobine, Je ne te voyais guère vêtue de cette façon, Je ne savais guère ton surnom, Poison, Tu as le talent attachant, Tu as presque tout ce dont je désire, C’est vrai, pour moi, tu as le penchant, Mais tu as le pire, L’envie d’un corps, certes, Tu ne donnes guère l’envie d’amour, tu laisses juste tes por