l'innocence des jeux élémentaires fait de l'écho, aux murs roses de cette salle d'effort, où se terre toutes ces énergies sans pause
moi je déambule en paix vers ces arbres en déliquescences foulant l'herbe de frais coupée là, digne des greens de France
les sols pleureurs perlent en mesure le printemps pour l'automne triste, sous ce ciel bleu azur las au regard des marcheurs, monotone
près de l'étang, un sable de clair ivoire où les enfants vocalisent, les assauts en des rires heureux, au vol des balançoires au loin se cachent, le silence des oiseaux
jaillissant du lac, une fontaine d'eau chante en murmure sobre, de méditations beau jour printanier, qui peint un tableau la au vent, en feuilles de désolation
le soir me ramène aux façades au loin la chute, féerique, de Gavarnie rêveries, juste un ruissèlement en cascade sur de modestes pierres en harmonie