Débarrassée de son manteau de poils et d’ongles Des restes de chair mortes et des caillots de sang Qui s’incruste sous la peau comme la saleté sous l’ongle La peau vive écorchée est plongée dans un bain Mélange d’eau et de tan où elle se charge en tain La peau morte à l’amour devient peau de chagrin Qui habille les ouvrages et se dore à l’or fin