C’est en été mêlé aux champs de céréales Que fleurit le chardon aux épines redoutables N’ayant les riches parfums des beautés Orientales Ni les couleurs ni la soie douce de leurs pétales N’étant pas sans épine comme la rose Bengale Cette plante intrusive ne plaît guère qu’aux ânes Au gai chardonneret ainsi qu’aux papillons