Il a connu la crainte, partagé des étreintes Et subit des contraintes, solide comme l’airain Son cœur n’a plus d’entrain il a mal dans les reins Sur son visage le temps a laissé son empreinte
Pour lui l’automne est arrivé, au coup de gong Il s’est mis en retraite et se promène en tongs Son visage buriné est celui d’un vieux bonze Sous sa robe safranée son cœur se bronze