Elle murit loin de terre au sommet du dattier Sa chair est tendre et mielleuse sa peau dorée Ce n’est pas l’œuvre d’un orfèvre, d’un bijoutier C’est le fruit d’une rencontre au soleil qui tout crée Du pollen qui voyage et d’une fleur féconde Et si ce n’est du vent de l’homme qui mène le monde