Fuyant l’hiver la froide bise le ciel chagrin Les humides brouillards et les vents tempétueux Les cheminées d’usine qui vomissent en panaches De noires fumées qui polluent l’air et donnent la toux Et empoisonnent la terre pour couronner le tout Ils ont quitté leurs îles les ballades Irlandaises Pour une promenade au bord de la grande bleue Ils sont venus à Nice s’offrir un parenthèse Au jardin d’Hespéride par la pomme tentés