Non ce n’est pas par jeu que je l’harnache de cuir Que je lui mets le mors en bouche, la bride au cou Que je la sangle dès fois qu’elle voudrait s’enfuir Quand elle s’échappe que je l’attrape par le licou
Car l’imagination cavale quand chantent les sirènes Pour me faire obéir je la tiens par les rênes Ainsi qu’on tient les cordes d’une balancelle Ce n’est pas par sadisme c’est pour rester en selle