Ce tableau tu m'offres quand tu te déshabille La vue sur tes collines chaque fois m'emoustille Toute nue telle Vénus quand elle sort de l'eau Tu es toute en rondeur on ne voit pas tes os
Ton dos qui n'est pas plat j'en suis la pente douce je ressens sous mes doigts poursuivant le dessin Sur le bas de ton dos ou chemine mes mains De légers tremblement de timides secousses
Monter sur les charmantes collines que sont tes seins Les voir qui se soulèvent à chaque respiration et ton ventre arrondi que tu m'offres à dessein Me laisse sans voix bouche bée et en admiration J'aime les parcourir ces riantes collines Comme la mer où chacun puisse l'inspiration