Chants d’antan et fleurs d’ajoncs en hommage à « Fripou »
Chants d’antan et fleurs d’ajoncs en hommage à « Fripou »
O muse vespérale filant en idylles pastorales la fine harmon Sur les cordes de mon luth rêveur, amoureux de ta belle cith Devers la roche grise qu’enguirlandent et grisent le lierre Je m’en allais égrenant à larges poignées tes tendres chants
Bohémienne aux yeux verts où rit le bleu velouté de la mer m Le menhir en soupirs me souffla un jour la douleur de ton am Fleur de genêt où le loriot blessé siffle sa plainte en comp Sur tes cordes vibrantes o romance émouvante d’une âme chan
Par les portes mouvantes que racle le vent le long des marai Je vois venir vers moi en nostalgique rêve l’ardoise en émoi Où belle tourterelle au tablier en dentelle déployant l’aile Auprès de toi l’aimable institutrice humant les purs délices
Dans ton plumier les fées se content les contes des elfes co Les vastes goélands s’accoudent à contre vent du récif de l’ Et comme un ancien Evhage menant ses longs troupeaux gras, à Tu regagnes le soir ta lointaine demeure et dans ton âme s’é
Comme Lucile tu t’en vas jaser et courir au fil volant des l Dévoilant dans un rire enfantin le secret celtique que cache La plume du mystérieux destin avec l’encre de ton cœur écrit Et ton sourire d’ange laisse tomber une larme noyant la marg
Les meunières t’avaient choisie un jour fiancée du légendair O douce cantatrice aux sandales de vent semant l’amour à tou Combien dans tes chants se mêle la douleur au sourire puéril O sylphide lâchant la bride de l’antique concert celtique de