Il aurait suffit d'un mot. D'une douce brise. D'une unique forme D'une place assise Pour le spectacle.
Il aurait suffit d'un homme Qui se soulève Qui me soutienne Qui m'amène A ma tache
Et pourtant...
Rien ne se passe. A part des voitures qui nous encrassent On ne vois même pas le mur qui nous tasse On se pousse tous sans voir pour cette première place.
On piétine nos frères avec la jalousie. Nos bons artistes tombent les uns après les autres dans l'o Pourquoi nos révolutionnaires s'arrêtent et prient Vous assistez a la société dernier crie.
Nos nouveaux nées ont déjà tous apprit. Que le plus beau et le plus fort c'est celui qui sourit. Aux coups de fouet et mensonges qui s'abattent. Qui nous notes et nous marquent. Nous ne sommes plus que des outils. Passes les médocs, la guerre est finit.
Et pourtant....
Ce sentiment de lassitude parmis vous, parmi nous. Au détriment de nos études on ne rêve plus que de sous. J'ai essayé d'apprendre comment survivre chez les fous. De ne pas me faire surprendre, une vraie meute de loups.
Un beau mensonge cette république aura exprimé. C'est a l'entrée de nos école qu'est écrit fraternité. On gronde nos élèves quand ils se mettent à s'aider. Pour avoir des amis, il faut etre prêt a tuer!
Briser les chaînes de l'amitié, croquer le mollet a son ain Qu'à cela tienne, j'ai choisit de t'ignorer. Car tout seul, tu ne pourras que parler.
J'ai rencontré des gens, vécu de belles histoires. N'ai pas vu mon futur, autre que dans les déboires. J'ai vu couler mon sang, et oublier l'espoir. Me taire j'en suis sur, me laisser dans le noire.
Vous voulez m'étouffer, moi je veux m'échapper. De cette prison de cire, que je brule chaque année. Et qui fond, je veux partir, loin de vous et vos contrées.
Je donne assez d'amour, et assez de ma voix. Je ferais tout pour, vous sortir de là! Vous portez sur mon dos, me passer à tabac. Et même casser mes crocs, utiliser mes bras.